extrait du journal d’Andrew Johnson
Depuis notre arrivée, nous nous comportons comme des écolos émerveillés culpabilisés par la modernité et ses corollaires polluants. Il est vrai que la montagne rouge exacerbe nos sens, surtout les primitifs, le goût, le toucher, l’odorat et notre rapport à la terre est envoûtant.
Mais, Naradan nous avait promis des Egayova d’amour et des Vénus qui courent. Nous avons pêché par impatience et nos travers de citadins ont repris le dessus. Nous avons érigé un oeil, parce qu’on voulait voir pour savoir.