Salvat nous a parlé à travers le masque bucco-nasal. Sa voix qui vient d’ailleurs nous raconte la dispute des déesses devant Pâris sur les monts verdoyants, s’ensuit la Guerre. Il nous mime le cheval de Troie qui pénètre dans la ville. Les soldats se répandent dans les rues. Zeus d’un geste vulgaire bouscule Vénus, écrasant au passage l’angelot qui vomit son sang sur ses flèches amoureuses. A l’approche de la victoire, Zeus est de plus en plus velu, c’est la fin de la parité et Vénus en larmes s’enfuit alors que s’installent peu à peu les monothéismes.
Elle se cache dans les herbes, on la traite de sorcière, on la chasse, elle se réfugie sur la montagne rouge, où Naradan l’a vue
On en veut beaucoup à Dieu d’avoir fait pleurer Vénus.
C’est vrai qu’on lui en veut