Le compromis.
C’est un laboratoire, une ferme, une usine, un piège. On applaudit les techniciens mais il n’est pas question de laisser pour compte les curés défroqués et cinglés qui une fois le succès avenu deviennent transparents et candidats à l’oubli. La magie existe mais pas comme on le croit dans les superstitions du vulgaire, elle se nourrit de persuasions; et l’outil du persuasif, c’est l’efficacité du symbole !
3 réponses sur “Le compromis”
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je n’invente jamais, je ne suis qu’un observateur dont la vision est déformée par une existence déjà longue.
Parlons en des symboles!
Les petits poissons pris au piège, les tuyeaux, le rouge. Tu vas nous faire un remake de « soleil vert » version poissons? Tout ceci n’est pas très catholique.
Au loin, le con promet + oU –
la destruction totale.
Dans la défroque du curé démissionnaire, taillons nous
des paravents en aval
pour se protéger du vulgaire