Partager la publication "abécédaire d’anglais"
cours d’anglais sous forme d’abécédaire, qui visent à démontrer que la langue anglaise est du français mal prononcé par des angles et saxons
cours d’anglais sous forme d’abécédaire, qui visent à démontrer que la langue anglaise est du français mal prononcé par des angles et saxons
Able vient du français capable, auquel les anglais ont coupé la tête dans le seul but de ne pas réfléchir avant d’agir.
Beverage vient d’une déformation circonstanciée de l’auvergnat BEREUVAGE (se prononce avec l’accent du coin) qui, à la différence du parisien: B’REUVAGE, n’escamote pas les E
C’est en multipliant par 2 la lettre U du mot français: couard (qui signifie: queue basse) que les anglais ont pu lui rajouter un caractère vachard
Il est tortueux le sentier des phonèmes qui, du français Dame-Jeanne, aboutit à l’anglais Demi-John
Certains mots nous confortent dans l’idée que l’on se fait de l’entente cordiale entre 2 peuples
Ces belles lèvres nous feraient croire que ce mot n’est pas d’origine française: ce n’est que mauvaise foi des anglais qui, incapables de comprendre notre langue, n’ont considéré que les deux première lettres du mot français qu’ils ont rotées après un bon repas (justement des cuisses de grenouilles) et c’est ainsi que nous sommes devenus des frogs.
Gorgeous vient du français: gorge, qui comme chacun le sait, se doit d’être correctement soutenue, d’où le soutient-gorge. Émerveillés par les seins des françaises, les anglais les ont transformés en adjectif qualificatif qui signifie somptueux, alors qu’en réalité ils disent : nichoneux…
Halberd vient du mot français hallebarde, glané à Paris où l’on prononce hal’bard, outil essentiel si l’on veut porter des têtes au bout d’une pique avec panache. On remarque ici Halberd de Monac (cousin de sa très grâcieuse majestée) qui ne veut rien savoir de l’utilisation optimale de cette arme qui reste, bien entendu, très performante en combat semi-rapproché.
Dialogue traditionnel anglo-français, franco-anglais, bilatéral et direct entre les deux peuples sur un mode merveilleusement commun: l’insulte.
Passer de Jane à John à chiottes, est plus ou moins fair-play. Néanmoins, Jean se transforme en John sous l’oeil de God qui save the Queen.
Knife vient de canif qui vient du vieux françique knif, donc de l’ancien franc. Ce qui tend à prouver que ce qui nous rapproche le plus des anglais sont nos origines allemandes.
Le concept d’amour appartient au français, pour preuve: la langue du love, Paris la ville du love etc. C’est indiscutable.
Malade, il l’est justement, et en anglais, il est très mal ajusté.
Silencieuse et nue, l’anglaise ressemble à la française mais avec des taches de rousseur.
Les anglais ont conservé ce vocable en souvenir du langage qui a lubrifié le leur.
Le bon pain de chez nous
Quaffable vient du français coiffable , du temps où les anglais ne connaissaient rien au vin.
Le mot repute rend justice à la lucidité des anglais pour ce qui est de la renommée et du glorieux.
Sans raison ni logique, l’anglais salit la vente.
L’accent parisien amplifie l’ironie, pour ces champions britanniques qui ont mérité leur friandise.
Voilà pourquoi les écossais sont plus anglais qu’ils ne le croient.
Mot entièrement français, dédié à tous ceux qui possèdent un trou de balle.
Win-win est la déformation flagrante de Ouin-Ouin qui, depuis le Moyen-Âge, chiale à chaque victoire des anglais qui, de leur côté, ont inventé le fair-play qui consiste à humilier les perdants.
Palindrome apaisant d’origine pharmaceutique, visant à procurer une hébétude tranquille alimentée par une concentration déficiente. Sa consommation remarquable en France, fait de nous, (enfin!) les champions du monde de quelque chose.
Dérivé approximatif du français miam-miam, yum-yum a donné l’adjectif yummy (qui correspondrait à miameux(euse)) Néanmoins, et c’est important de le garder à l’esprit, ces expressions apparemment similaires ne s’utilisent pas de la même manière. En effet, il ne serait jamais venu à l’idée d’un français de s’écrier: »miam miam! » devant un plat angle et saxon, surtout à l’époque obscure pendant laquelle ils essayaient de s’inventer une langue!
Malgré cette fin brutale, la vérité historique et une certain Edward III prétendent que « Honni soit qui mal y pense »
dessins de Philippe Andrieu