Du 22 au 28 octobre
Egayova qui a voyagé coiffée de L’Oméga de la Pentagenèse des sens
Egayova la verte, l’amoureuse des reptiles fut bannie des principes fondamentaux par les moralistes binaires, architectes de l’immobilisme symétrique et du pouvoir des cités herbicides.
Mais, la ville résonne et l’angle droit amplifie le souffle.
La rumeur devient musique et réclame sa mélodie qui raconte le retour d’Egayova, guidée par la symphonie des brins d’herbe, système pileux planétaire qui se hérisse au passage de la verte déesse.
Il est beau ce tableau tout de rouge habillé.
J’aime bien l’idée que les brins d’herbes aient leur déesse et se hérissent sur son passage. Vive l’herbe. C’est bon pour le moral.