Sur la rive droite de la Garonne, en aval de Golfech, la deuxième carpe de Mangashima est appelée aussi « carpe de la saint Jean ». Sur la rive gauche on la nomme « carpe du Feu de Dieu », ce qui laisse à penser qu’à l’orée des grandes catastrophes l’humain confie aisément sa spiritualité aux superstitions populaires.